C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de avois dans 7FMR 
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[1] Je desirois à luy aider et n'avois eu nulle lettre du roy contre luy; (COMM., III, 1495-1498, 65)
[2] Je vous avois escript touchant Tomas Portunary ii mois a, mes vous n'avés pas eu les lettres comme m'a mandé mon homme. (0304, 131)
[3] Il a plu a roy commander la pension que j'avois cant il me desapointa l'office, non il en tiendra qu'aux gens de finances qu'i ne se face et n'y ay embesongné que ly. (0304, 140)
[4] T'avois je fait ouvrir ces fenestres? (Path. D., c.1456-1469, 106)
[5] Trop grief m'est ceste maladie, Quant nulz ne truis qui ne me die Que n'en puis avoir garison Pour mecine ne pour poison Que puisse prendre. se face et n'y ay embesongné que ly. (Mir. emper. Romme, 1369, 296)
[6] plus n'avois croix ne pille ; (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 167)
[7] Car je n'avois en mon corps nerf ne vaine Qui ne souffrist aspre et dure poincture Plus que ne puis dire par escripture. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 159)
[8] à mon reveil du tresamer, douloureux et pesant somne dont j'avois esté espris et l'entendement detenu, en ung cloz umbreux semé de divers arbres estant soubz l'un d'iceulx reposant les lassez et travaillez membres de mon corps, j'advisay vers ung endroit de ce pourpris soubz arphazarahan, arbre sec sans verdure, dont l'ombre est aux dessoubz reposans et passans mortelle, aucunes figures de moy lors incongneues, combien que au parler qu'elles tantost firent j'euz congnoissance de leur estre et de la cause de leur assemblée, qui estoit sur le dolent et lamentable cas de la mort de feu messire George Chastellain, leur suppost et allumpne,ymitateur de leurs faictz et vray scrutateur de vertuz et de claire doctrine. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 161)
[9] O Atropos trop futes temeraire D'oser toucher a l'euvre elementaire Que fait avois de qualité si bonne. (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 169)
[10] Fortune fiere, pour me faire vergoigne, Chasser me fit par ung tas de villains, Moy qui avois les François et Germains, En mon temps, mis en fuite et desarroy ; (ANTITUS, Poés. P., c.1500, 63)

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