C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de aviez dans 7FMR 
79 attestations 
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[1] fist semblant que le droit fust pour cellui, qui devoit les diz cent frans, et dist à l'autre : «Mon ami, se vous n'avez apris à cestui à faire ce que vous lui aviez promis, raison n'est mie qu'il vous paye. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 78)
[2] " Or dictes qui vous a si duit, C'est a dire qui vous retint De courir, et pour quoy ne vint Vostre penser par vostre fait Au souverain bien et parfait, Qui aviez sa santé apperte Et la grant voie descouverte? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 236)
[3] Celle royne prinst des meilloursConseilliers, barons, gens d'Eglise, Qu'elle pot, et par bonne guise Et sainctement se gouverna, Et son filz le roy ordonna Es lettres d'Escripture saincte, Et par maniere de complainte, Souventefois la saincte dame Lui moustroit le salut de l'ame, Comment l'en devoit Dieu doubter Et pechié mortel rebouter, Disans: " Chier filz, plus chier aroye Vous veoir mourir, se pouoye, .II. fois, se vous aviez corps tel, Que ce que par pechié mortel Eussiez Dieu, vostre creatour, Offendu par un tout seul tour. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 307)
[4] Lors s'en vint li prodoms dolens, Tristes et mas devers Ylie, En disant: " Belle douce amie, Comment m'aviez vous ce celé Qui hui m'a esté revelé? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 335)
[5] Donques, mon ami, advienne de vous ce que a Dieu plaira: se il vous en donne aucun peu d'onneur, ce peu vous sera plus que tout l'onneur d'un autre, et s'il vous surmonte comme un jaiant qu'il est au regart de vous, il ne vous puet tant fouler que le monde ne vous en prise trop plus que se n'aviez eu a faire a lui, car j'ai aux preux des armes oy compter que le gentil homme sans querelle foulé en armes est plus a prisier qu'il n'estoit devant, car les gens combatent et Dieu donne les victoires a ceulz qu'il lui plait. (LA SALE, J.S., 1456, 151)
[6] Lors que je entray es lices je vous viz delez la royne, mais quant je vins tout armé sur les rens je viz la royne et toutes les dames fors que vous, si me pensay que n'aviez cuer de veoir l'abatement de la jouste, ainsin que ja m'aviez dit, et ne pensay en vostre mal plus avant. (LA SALE, J.S., 1456, 162)
[7] Lors que je entray es lices je vous viz delez la royne, mais quant je vins tout armé sur les rens je viz la royne et toutes les dames fors que vous, si me pensay que n'aviez cuer de veoir l'abatement de la jouste, ainsin que ja m'aviez dit, et ne pensay en vostre mal plus avant. (LA SALE, J.S., 1456, 162)
[8] Car trop fustes de rude affaire, Quant la dame vous aprocha D'un fait qu'elle vous reprochaQue fait aviez ou temps passé. (MACH., J. R. Nav., 1349, 267)
[9] Se vous eüssiez compassé En vous aucune congnoissance Qui fust signes de repentence De ce que vous aviez mespris Contre les dames de haut pris, Vous eüssiez fait moult que sages. (MACH., J. R. Nav., 1349, 268)
[10] Et quant au fait de la lettre en la quele je vous estoie tenus, je la pense bien avoir acomplie tellement comme je doy, car je vous ay fait presenter par le maistre de l'Ospital et par le conte de Herford que j'estoie prest d'aler en ceste presente armée et de vous tenir tout ce que je vous avoie promis, eu cas que vous me tenriés aussi tout ce que vous m'aviez promis. (MACH., P. Alex., p.1369, 229)

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