C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de aviens dans 7FMR 
10 attestations 
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[1] Et jugement En oseroie attendre vraiement, Se nous aviens juge qui loiaument Vosist jugier, et veritablement. (MACH., J. R. Beh., c.1340, 101)
[2] Car longuement Avoit duré de nous le parlement, Et si aviens fait maint arguement, Si comme il est escript plus pleinnement Ici dessus. (MACH., J. R. Beh., c.1340, 117)
[3] Dont en l'eure se vint embatre Devers nous cils bons rois de prisQue nous aviens a juge pris. (MACH., J. R. Nav., 1349, 186)
[4]Quant du bon temps passé il me souvient, Que nous allions chasser a l'acropie, Et ou printemps, que chascun en aviens Que nous allions querir les nidz de pie, Et maintenant j'ay au nez la roupie, Nulles dens n'ay, je mangeue soupe en laict, Fourré je suis et si ay mantelet, Emprès le feu vin et eaue en deux potz, Les mains me tremblent et bois au gobelet ; (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 223)
[5] Et si repreismes illec aucunes de nos choses quenous aviens laissées en garde chex les marchans genevoix en Babiloine. (Voy. Jérus., c.1395, 76)
[6] Sy aviens avec nous ung escuier du Roy qui icellui trellis nous fist ouvrir par les freres. (Voy. Jérus., c.1395, 83)
[7] Car, ainsi come dit est devant, tantost qu'il sceut que nous fusmes arrivez a Limeso et que nous aviens desir de le veoir, il nous envoya chevaulx et sommiers pour aller aNicossie, c'est assavoir aux Freres mineurs cordelliers; (Voy. Jérus., c.1395, 84)
[8] Sachiés que quant icelle barque nous vint a ladicte grosse nafve, nous n'aviens pas tous nos aises, car nous aviens esté trois jours et plus sans boire vin, et si estoient failliz tous nos vivres, passés .IIIJ. jours, ne nostre patron n'avoit vivres dont il nous peust aidier fors que d'un petit d'eau toute punaise et d'un petit de gravain bescuit plain de vers. (Voy. Jérus., c.1395, 90)
[9] Sachiés que quant icelle barque nous vint a ladicte grosse nafve, nous n'aviens pas tous nos aises, car nous aviens esté trois jours et plus sans boire vin, et si estoient failliz tous nos vivres, passés .IIIJ. jours, ne nostre patron n'avoit vivres dont il nous peust aidier fors que d'un petit d'eau toute punaise et d'un petit de gravain bescuit plain de vers. (Voy. Jérus., c.1395, 90)
[10] Comme nous despiessa, par vertu du previlege ottroié par le roy de France, nostre seigneur Phelippe le Bel, que Diex absoille, aux bourgois et habitans de la ville de Paris sur le fait des maisons ruyneuses, vuides et vagues de la dite ville de Paris, eussions fait crier et subhaster ou Chastellet de Paris une maison vuide et vague, ruyneuse et inhabitable, et le jardin estant en ycelle,qui jadis fu Senne Bonnecoursse, assise a Paris, en la rue du Bourc l'Abbé, en nostre censive, justice et seignorie, tenant, d'une part, a Jehan le Roux, et, d'autre part, a Robert Polain, texerrant, aboutissant par derriere aux jardins qui furent Pierre Mimant et qui sont a present Phelippot de Calville, pour raison de douze deniers par. et de une mine de feves que nous y aviens et preniens par an de fons de terre au terme Saint Remi, dont l'an nous devoit les arrerages de huit annees, et tant eussions poursuivi ou fait poursuivre en nostre nom par frere Jehan de Bris, nostre pitancier et procureur, les dites criees et subhastations selonc la fourme du dit previlege que, sauf le droit de ceus qui aux dites criees s'i sont opposé, tout le droit de ceus qui en temps deu ne s'i estoient et sont opposés nous fu adjugié et acquis par vertu du dit previlege et selonc le contenu d'icelui et selonc le decret sur ce ordené a estre fait ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 441)

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