| [1] | auxquelz suffise la reprouce de David, qui defent de soy fier es princes et es filz des hommes sans salut. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 104) | | [2] | LA FIN ET CONCLUSION à revenir au premier propos et conclure la .Ve. raison que au devant te mis, ma redoubtée dame, comme je me soie, si me semble, assez souffisamment de promesse acquité de te demoustrer par ce qui est dit la difference d'entre la vie presente et celle que ont les trespassez en grace en l'autre siecle, dont en concluant te dis de rechief, si que veoir par les susdittes preuves tu le pues clerement, que achoison n'as de douloir ne de plaindre la mort des susdis tes amis trespassez par grace de Dieu, si comme je tiens finez salutairement, auxquelz pevent plus prouffiter aumosnes, oroisons et bienfais que ne font tes lermes, veu les grans biens dont ilz sont, se Dieu plaist, attendans, qui est la gloire du ciel, à laquelle les parmaint et toy avec enfin ycellui Dieu qui de toutes choses est principe et atteur, qui garde de toy soit! (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 52) | | [3] | non mie que on doye par mes paroles entendre que ycellui en sa jeunece fust excerciteur de cruaultez inhumaines, ne aussi moriginés es orgueilz tarquiniens, lesquelles choses, Dieu mercis, sont hors les usages des honnorez princes françois, auxquelz, pour la blancheur de leur glorieux estre, appert petite tache, se en eulx est, plus que tres grant autre part ne feroit. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 21) | | [4] | auxquelz je respons ce que meismes autrefois ay dit, qui sert ad ce propos, ce que Hugues de Saint Victour dit : «Le sages homs aprent volentiers ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 191) | | [5] | item, souventes fois à aultres hommes soy essaier, si comme dit Vegeceque souloient faire ancienement les Rommains aux jeunes enfans, auxquelz ilz bailloient à leurs essais plus pessans armeures que celles de guerre, et en ce il les entroduisoient. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 207) | | [6] | auxquelz le roy respondi que il n'avoit encore ouy certaines nouvelles de ceste eslection, et si y avoit tant de bons amis cardinaulx, qui jadis furent serviteurs de ses predecesseurs et les siens, que il tenoit fermement que, se aucune election de pape eust esté faitte, ilz la lui eussent segnefié, et pour ce son entencion estoit d'encore attendre jusques autre certificacion eust, avant que en ce fait plus procedast. susdittes preuves tu le pues clerement, que achoison n'as de douloir ne de plaindre la mort des susdis tes amis trespassez par grace de Dieu, si comme je tiens finez salutairement, auxquelz pevent plus prouffiter aumosnes, oroisons et bienfais que ne font tes lermes, veu les grans biens dont ilz sont, se Dieu plaist, attendans, qui est la gloire du ciel, à laquelle les parmaint et toy avec enfin ycellui Dieu qui de toutes choses est principe et atteur, qui garde de toy soit! (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 140) | | [7] | » Celle oroison finée, se fist tourner la face vers les gens et peuple, qui là estoit, et dist : «Je sçay bien que, ou gouvernement du royaume et en plusieurs choses, grans, moyens et petiz ay offensez, et aussi mes serviteurs, auxquelz je devoye estre benigne et non ingrat de leur loyal service, et, pour ce, je vous pry, aiez mercy de moy, je vous requier pardon. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 190) | | [8] | Pour ce me passe seulement d'elle disant que, sans faille, Fama ne tenoie menterresse des bons recors qu'en toutes places d'elle faisoit, auxquelz la vraie experience vi accordable. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 16) | | [9] | Et si sçavent myeulx trouver les personnes auxquelz il fault qu'ilz s'adressent pour conduyre leur accord que nulle autre ville que j'aye jamais congneü. (COMM., II, 1489-1491, 204) | | [10] | Et si sçavent myeulx trouver les personnes auxquelz il fault qu'ilz s'adressent pour conduyre leur accord que nulle autre ville que j'aye jamais congneü. (COMM., II, 1489-1491, 204) |
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Attestation de 