C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de auxquelx dans 7FMR 
22 attestations 
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[1] Et qu'il apparoisse estre vray, il a plus avancé sa misericorde au peuple crestien que il n'a fait aux enfans de l'Ancien Testament, auxquelx il retardoit sa dicte clemence et misericorde plus sans compareison qu'il n'a fait aux crestiens puis sa dicte passion. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 78)
[2] Auxquelx comme nous respondons qu'il nous a racettez de nos pechiés et de son ire et des paines d'enfer et de la puissance et captivité du deable, desquelles nous ne nous peusmes delivrer - Dieu, par sa puissance, tous les a expugnez et nous a rendu le royaulme des cieulx et, car toutes ces chouses en ceste maniere il fist, nous a demonstré de quelle amour il nous amoit -, et ces infeaulx respondent [sic] : se vous dittes que Dieu ne peust fere ces chouses par ung seul commandement, comment il fit l'omme, disant : «Soit fait l'omme», et il fut fait, il vous convendra dire qu'il n'est pas tout puissant ; (CRAP., Cur Deus, De arrha B.H., c.1450-1460, 170)
[3] auxquelx sergenz et forestiers le dit Galopin et sa femme, pource qu'il estoit bien matin et sur le jour, et ne savoient qui ilz estoient, refuserent à ouvrir l'uys d'icelle maison; (6205, 382)
[4] Auxquelx apres ce que nous eusmes eu advis et deliberacion à Jacques Le Renvoisié, viconte de Neufchastel, à Jehan Morelet, à Jehan de Ribeuf, conseiller, et Gilles Estie, procureur du Roy nostre dit sire, et à autres sages personnes, nous en accomplissant les dictes lettres transportées, donnasmes congié de court sans amende aux dictes parties; (6205, 412)
[5] Messire Guillaume de Vierville, chevalier, a asseuré Guillaume Taupin et Thomas de Condey, auxquelx la Court a defendu qu'il ne parlent outrageusement ne ne meffacent audit chevalier, à peinne de grosses et arbitraires peinnes. à autres sages personnes, nous en accomplissant les dictes lettres transportées, donnasmes congié de court sans amende aux dictes parties; (BAYE, I, 1400-1410, 128)
[6] Cedit jour, comparurent messire Raoul du Refuge, escolatre d'Orleans, messire Gerault Bagouli, docteurs en ladicte Université regens, maistre J. Thomas, licencié in utroque et procureur general deladicte Université, non pas comme tel, et les procureurs des nations de France, de Picardie, Bourgoigne, Acquiteinne et Champaigne, non pas comme procureurs, Guillaume de Craon, J. de Rambures, Hutin de Dicy, Henry Quellet, et pluseurs autres estudians d'Orleans, auxquelx la Court sur le gouvernement petit de ladicte Université, tant en meurs que en faiz de l'estude, a parlé en les reprenant, et par especial sur les cas plaidoiez le Ve dudit moiz, et finablement a ordonné la Court que les defaus de ladicte Université et aussy remedes seront miz en certeinnes cedules par chacun desdiz docteurs et Thomas ad partem et en secret, etrenvoieront devers la Court leur adviz et lesdictes cedules, sanz ce que l'un sache de l'autre, et puiz la Court advisera la provision, et puiz en a renvoié lesdiz de l'Université. (BAYE, I, 1400-1410, 129)
[7] Il sera dit que le procès ne se puet juger en l'estat qu'il est, maiz reprins les procés dessusdiz sera fait recolement des tesmoins produiz par lesdictes parties, auxquelx seront faiz certains interrogatoires, et sera faicte collation de tous les procès, actes, lettres et instrumens produiz par lesdictes parties, desquelx collation n'a esté faicte aux notes ou lettres originaulxen presence desdictes parties, selon l'appoinctement de ladicte Court. (BAYE, I, 1400-1410, 197)
[8] Aussi fu dit que, pour ce que le Roy, pour pluseurs empeschemens qui lui survenoient souvant, avoit jà pieçà ordonné que la Royne par le conseil de messeigneurs du sanc royal entendroit es grosses besoignes et cas qui en ce royaume avendroient, auxquelx le Roy ne povoit entendre, ycelle Royne aussi estoitempeschée pour pluseurs cas qui lui surviennent et empeschemens, par quoy n'y povoit entendre, si avoit ordonné le Roy, à la requeste de la Royne, que monseigneur le Dauphin entendroit de cy en avant auxdictes besoignes par le conseil de mesdis seigneurs du sanc royal. les cas plaidoiez le Ve dudit moiz, et finablement a ordonné la Court que les defaus de ladicte Université et aussy remedes seront miz en certeinnes cedules par chacun desdiz docteurs et Thomas ad partem et en secret, etrenvoieront devers la Court leur adviz et lesdictes cedules, sanz ce que l'un sache de l'autre, et puiz la Court advisera la provision, et puiz en a renvoié lesdiz de l'Université. (BAYE, I, 1400-1410, 306)
[9]Cedit jour, la Court a deschargé et descharge et donne congié aux capitains qui estoient ordonnez à la garde des chasteaulx de Coucy, d'Assy et du Chastellier, auxquelx garder estoient commiz les seigneurs d'Auffemont, de Cerny et Evein de Cramailles. (BAYE, I, 1400-1410, 309)
[10] Dient que le Chastel nuef de Barbeguiere et IJ ou IIJ autres, de la widange desquelx est question, sont hors dudit païz et arrieres d'eulx, et ancor pour les wider et soubz umbre de ce furent baillez l'an passé audit connestable XXX mil frans, dont n'a rien esté emploié à ladicte widange, et se à contribuer faloit, ce deveroit estre par ceulx des païz auxquelx aydent ou nuysent lesdiz chasteaulx, non pas à eulx, à qui ne font ne froit ne chaut, et si ne leurayderent onques in similibus les voisins desdizchasteaulx, et si a une ou IJ grosses rivieres entre lesdiz chasteaulx et eulx. (BAYE, II, 1411-1417, 12)

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