C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de auxdis dans 7FMR 
6 attestations 
 Page /1 

[1] Sur quoy estoient avisié aucuns poins qui seroient dis auxdis nobles, et se miex avisoient, le diroient au Roy. (BAYE, I, 1400-1410, 306)
[2] Et que, à l'occasion d'une lettre royal passée environ la S. Deniz derrainement passée fu publié abandonnement des corps et biens de ceulx qui seroient ou estoient favorisans auxdis d'Orleans, aient esté faiz tant de maulx, crimes, pilleries, roberies et calumpnieuses accusations et impositions sur pluseurs vaillans et sages hommes et sur pluseurs bons bourgoiz et bourgoises et autres simples gens et sur leurs parens et amis, et telement que par le conseil, comme aucuns disoient, de pluseurs de l'Université de Paris, ou d'icelle Université ont estépubliquement excommuniez depuis ladicte S. Deniz jusques à VIII ou XV jours cy devant, à cloches sonnans et chandoilles esteinctes, les ducs d'Orleans, de Bourbon, contes d'Alençon, de Vertus, d'Armignac, messire Charles de Lebret, lors connestable de France, qui estoient venus devant Paris ceste année environ la Toussains, et leurs aliez, complices, aydans et confortans, par vertu d'une bulle donnée par le Pape Urbain Quint. (BAYE, II, 1411-1417, 84)
[3] Sur laquelle requeste, quant au premier point, a la Court respondu en les louant et recommandant de leur bonne affection, volenté et propos, et qu'elle averoit moult grant plaisir que bon remede fust mis auxdis defaux. (BAYE, II, 1411-1417, 100)
[4] c'est assavoir, messire Loiz, duc de Baviere, frere de la Royne, lequel devoit demain espouser la suer du conte d'Alençon, vefve de messire Pierre de Navarre, qui estoit frere du Roy de Navarre, cousins germains du Roy, et en la Conciergerie de ce Palaiz messire Regnault d'Angennes, chambellant de mondit seigneur le Dauphin, et son gouverneur dès passé a V ou VJ ans,messire Charles de Villiers, chevalier, maistre d'ostel de la Royne, messire J. de Nyelles, chevalier et chancellier dudit Dauphin et de la Royne, et qui avoit eu grant auctorité es cours desdis seigneurs puiz IIIJ ans, et qui de homme et estat de practique et de conseiller dudit duc de Bourgoigne estoit venu auxdis estas, J. de Nantoillet et pluseurs autres. (BAYE, II, 1411-1417, 113)
[5] Sur quoy la Court conseille au Roy qu'il die auxdis de Berry et de Bourgoigne que, pour le bien du royaume, leur plaise eulx assembler avecques lesdis seigneurs de par delà, et de ce leur supplie icelle Court. (BAYE, II, 1411-1417, 122)
[6] Ce jour, la Court a ordonné, en la presence duprocureur du Roy géneral et de maistre J. du Boiz, procureur des religieux, abbé et couvent de S. Deniz en France, que par main souverainne et sans prejudice du procès pendent ceans entre lesdictes parties, et aussi sans le prejudice des droiz desdictes parties les biens et gages prins durant la foire du Lendict derrien passé sur aucuns forains extans à ladicte foire, pour cause de ce que en leurs loges ilz n'avoient miz, fait mettre, coudre ne attacher escripture, peincture, espeintre n'autre chose quelconque par quoy apparust des villes dont ilz estoient, seront pour ceste foiz rendus et restituez auxdis forains en baillant par devent maistres Jaques de Ver et Jaques Cardon, commiz à ce de par la Court, telle caution que pourront bailler d'ester à droit sur ce. (BAYE, II, 1411-1417, 215)

Fermer la fenêtre