C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ausquelles dans 7FMR 
41 attestations 
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[1] Ce scevent ceulx qui l'essaient, ausquelles erreurs et faultes assez de legier pourroit estre pourveu. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 164)
[2] Car pour celle cause croy que Dieu Saint-Esperit, pere des povres et leur vray amenistrateur, m'a conduite au terme de ta congnoissance, si comme il scet les pesanteurs de mes perplexitez ausquelles reconfort ne m'est presenté par les humains de nulle part. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 94)
[3] Si fut ja venu le temps de sa vieillesce, qui en assez brief temps aprés cheut en longue inpotence et maladie ou maintes souffraites sourdirent, ausquelles eust eu besoing l'espargne des choses despendues. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 99)
[4] Ausquelles choses se bien penser y veulx et sagement en toy discuter, tu trouveras que les aventures qui avenues au monde te sont, que tu imputes a male fortune, te sont propices et convenables, et meismement a l'utilité de ton vivre au monde et pour ton mieulz, si comme cy aprés te monstreray; (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 120)
[5] Et sur ceste matière alloient et venoient gens et vouloit ledict duc laisser reposer son armée, qui estoit très fort deffaicte, tant à cause de Nuz que de la guerre de Lorraine, et le demourant vouloit-il envoyer en garnison en aucunes places, tant du conte de Romont comme autres, près des villes de Berne et de Fribourg, ausquelles il vouloit faire la guerre, tant pour ce qu'ilz la luy avoient faicte, estantdevant Nuz, que aussy pour ce qu'ilz avoyent aydé à luy oster la conté de Ferrette, comme avez ouy, et avoyent osté audit conte de Romont partie de sa terre. (COMM., II, 1489-1491, 98)
[6] La creance dudict embassadeur estoit comme son maistre, le duc de Millan, estoit adverty que le roy et le duc de Bourgongne se devoyent entreveoir et faire une très grant paix et alliance ensemble, ce qui seroit au très grant desplaisir dudict duc son maistre, et donnoit des raisons pour quoy le roy ne le devoit faire: ausquelles y avoit peu d'apparence, mais disoit à la fin de son propoz que, si le roy se vouloit obliger de ne faire paix ne trèves avecques ledit duc de Bourgongne, que le duc de Millan donneroit au roy cent mil ducatz content. (COMM., II, 1489-1491, 110)
[7] Et sur ceste matière alloient et venoient gens et vouloit ledict duc laisser reposer son armée, qui estoit très fort deffaicte, tant à cause de Nuz que de la guerre de Lorraine, et le demourant vouloit-il envoyer en garnison en aucunes places, tant du conte de Romont comme autres, près des villes de Berne et de Fribourg, ausquelles il vouloit faire la guerre, tant pour ce qu'ilz la luy avoient faicte, estantdevant Nuz, que aussy pour ce qu'ilz avoyent aydé à luy oster la conté de Ferrette, comme avez ouy, et avoyent osté audit conte de Romont partie de sa terre. (COMM., II, 1489-1491, 98)
[8] La creance dudict embassadeur estoit comme son maistre, le duc de Millan, estoit adverty que le roy et le duc de Bourgongne se devoyent entreveoir et faire une très grant paix et alliance ensemble, ce qui seroit au très grant desplaisir dudict duc son maistre, et donnoit des raisons pour quoy le roy ne le devoit faire: ausquelles y avoit peu d'apparence, mais disoit à la fin de son propoz que, si le roy se vouloit obliger de ne faire paix ne trèves avecques ledit duc de Bourgongne, que le duc de Millan donneroit au roy cent mil ducatz content. (COMM., II, 1489-1491, 110)
[9] Je vous mercye des lettres qu'il vous a pleu m'escripre par l'ambaxadeur de madame, qui s'en va devers le roy, et des bonnes parolles que par lui m'avéz mandeez, ausquelles je lui ay fait responce, comme par luy vous seréz adverty. (0304, 80)
[10] -- Et cy vous donray fin des anciennes histoires, ausquelles vous prie et commande que veulliez prendre plaisir a escouter et a lire, que, pour asubtillier vostre esperit en toutes nobles et illustres euvres, ne pourrez mieulz vostre temps emploier, ainsin que le versificateur dit: Ut ver dat florem, flos fructum, fructus odorem, sicut studium mores, mos sensum, sensus honorem . (LA SALE, J.S., 1456, 76)

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