C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de audessus dans 7FMR 
13 attestations 
 Page /2 

[1] Appartient il c'uns chetis voist Offrir ne qu'il sée a la table Audessus d'un homme honourable? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 299)
[2] Et cellui le maine, environ demie lieue, sur une haulte montaigne, et lui dist: Sire, veez la le port et veez la l'abbaye audessus. (ARRAS, c.1392-1393, 135)
[3] Adonc le cappitaine dudit lieu, nommé Roullin, monta audessus du pont avecquez une coulevrine à main, qui ataignit le hault de la sallade dudit Vigier, dont il cuidoit estre mort. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 191)
[4] et ne fay doubte que en perseverant vous ne soyés tousjours audessus de vos ennemis. (JUV. URS., Verba, 1452, 224)
[5] et vous mesmes l'avés tousjours fait, jusques ad ce que vous avez veu ed congneu que Dieu et fortune, qui est variable, vous avoient aidé tellement que vous vous sentiez comme audessus. (JUV. URS., Verba, 1452, 268)
[6] Il respondist que son interest " estoit " et " est a " la chose publiqued'avoir subgés riches, et que il n'estoit pas tousjours temps de brebis tondre, et quant on les tonderoit il vouloit quece feust si hault audessus de la peau et que il demourast assés layne pour leur aider et conforter; (JUV. URS., Verba, 1452, 271)
[7] Et en aprés ces choses ainssi faites, la dite Denise se feust traitte par devers les diz religieus et eust requis et fait requerir a iceulz religieus que, non obstant la dite sentence et condampnacion, ilz les dites veues et fenestres et agoux voulsissent laissier ou point et en l'estat que il estoient lors, c'est assavoir unze fenestres a treilliz de fer sans les autrement haussier, estouper ne mettre voirre dormant ou autre empeschement, avec deux petiz pertuis sans fer, assizes icelles fenestres si conme il s'ensuit, c'est assavoir ou celier d'icelle maison deux fenestres, ou premier estaige dessus le celier trois fenestres, ou secont estaige qui depart le dit celier deux fenestres avec les deux petiz pertuis dessus diz qui sont audessus et joingnant des deux fenestres, les quiex pertuis sont, estoient et seront de demy pié de large et d'un pié de lonc sans fer, ou tiers estaige deux fenestres, et ou quart estaige qui est le derrenier et emprés les esgous deux fenestres, des quelles unze fenestres y a les neuf qui sont d'un lonc et d'un large, c'est assavoir de deux piez de lonc et de pié et demy et plaine paume de large, et les autres deux estoient et sont mains larges et mains longues que les autres neuf ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 303)
[8] Affermerent et distrent en bonne verité comme ils et plusieurs autres personnes demourans et habitans en la dicte ville de Morsanc et ailleurs et ou païs environ eussent plusieurs terres assises ou terroir de Morsanc dessus dit, partie audessouz du chemin par ou l'en va de Morsanc a Loncpont, et partie audessus dudit chemin jusques au bois, chargiees de servitude de champars envers religieuses personnes et honnestes l'abbé et couvent de l'eglise de Saint Magloire de Paris, dont les aucunes avoient esté lonc temps en friche, non labourees et pou proffitables aus diz religieux et aus detenteurs et proprietaires d'icelles terres, tant pour la dicte servitude de champart comme pour les guerres, mortalitez et pou de peuple qui ont esté oudit païs ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 517)
[9] et pour ce, des environ quinze ans a, se feussent trais par d]evers les diz religieux li aucuns des habitans de la dicte ville et leur eussent supplié et requis, pour euls et pour tous les autres aians terres oudit terroir, audessouz et audessus dudit chemin, estans a champart et chargié d'icelui, que il leur pleust et voulsissent ycelui champart mettre a cens et a disme, c'est assavoir chascun arpent des terres au dessouz dudit chemin de Loncpont a huit deniers par. de chef cens, et chascun arpent des terres audessus d'icelui chemin [jusques au] bois a six deniers par. de chef cens, et du plus plus et du moins moins, lequel chiefcens yceuls religieux auroient et leur seroit paié en leur hostel de Morsanc dessus dit, chascun an, des possesseurs et tenans ycelles terres a tousjours, le jour de feste saint Jehan Baptiste, en et souz paine d'amende acoustumee, [saisie,] prise et levee de chiefcens non paié au jour qu'il est deu ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 517)
[10] et pour ce, des environ quinze ans a, se feussent trais par d]evers les diz religieux li aucuns des habitans de la dicte ville et leur eussent supplié et requis, pour euls et pour tous les autres aians terres oudit terroir, audessouz et audessus dudit chemin, estans a champart et chargié d'icelui, que il leur pleust et voulsissent ycelui champart mettre a cens et a disme, c'est assavoir chascun arpent des terres au dessouz dudit chemin de Loncpont a huit deniers par. de chef cens, et chascun arpent des terres audessus d'icelui chemin [jusques au] bois a six deniers par. de chef cens, et du plus plus et du moins moins, lequel chiefcens yceuls religieux auroient et leur seroit paié en leur hostel de Morsanc dessus dit, chascun an, des possesseurs et tenans ycelles terres a tousjours, le jour de feste saint Jehan Baptiste, en et souz paine d'amende acoustumee, [saisie,] prise et levee de chiefcens non paié au jour qu'il est deu ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 517)

13 attestations 
 Page /2 
Fermer la fenêtre