C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de aray dans 7FMR 
279 attestations 
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[1] Ne jamais je n'aray envie De saillir hors de ceste voie Qui a tout soulas me convoie. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 50)
[2] Mais de leurs facons plus descripreMe passeray, car ailleurs tire, Et de dire en piece assouvi N'aray les merveilles que y vi. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 97)
[3] Apren que, quelque sentence soit donnée, je ne te paieray quelque chose que tu demandes, car, selon la distinction, ou j'aray sentence pour moy, ou contre moy. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 79)
[4] Se j'ay sentence pour moy, c'est certain que j'aray gaigné, si ne te devré riens. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 79)
[5] Se la sentence est contre moy, il n'est pas doubte que je ne te devré riens, car je n'aray pas gaigné. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 79)
[6] Se j'en puis trover une tele, Plus l'ameray que riens mortele, En joie fineray mon temps, Je n'aray noise ne contemps, Je seray gaiz et envoisés, Je seray tousjours bien aisés Et hors de ces aultres perils De foles femmes qui sont vils; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 28)
[7] Et que femme gouverneroit Mieulx mon hostel et ma chevance A mon proufit, par attemprance, Que ne font estrangiere gent, Comme meschines et sergent, Et s'aray le port des amis Du lieu ou je me seray mis, Et larray l'orde vie et villeQue Dieux deffent en l'euvangille, C'est assavoir que nulz ne preingne Fornicacion ne ne tiengne Concubine ne femme estrange, Ne bate blef en aultrui grange, Car ce seroit pechiez mortés. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 37)
[8] Et aussi me fust bien mestiers D'avoir bourses de pierrerie, Couteaulx a ymaginerie, Espingles tailliez a esmaulx, Et chambre, quant j'aray les maulx D'enfans, belle et bien ordonnée De blanc camelot et brodée, Et les courtines ensement; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 45)
[9] Faictes le devant moy venir: Se je le puis aux poings tenir, Et il m'amet foleur n'oultraige, Je lui romperay le visaige, Et telement me deffendray Qu'il ara tort, et droit aray. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 129)
[10] Avec vous jamais bien n'aray, Ainsois me faictes laide chiere. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 130)

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