C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de apris dans 7FMR 
218 attestations 
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[1] Si sçay trop mieulx qu'en doit valoir le pris Ne d'en parler ne doy estre repris, Car a chier coust l'ay a l'essay apris Mainte sepmaine, Et n'ay pas eu tousjours la teste saine. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 165)
[2] Ce sont les gages, Les haulx plaisirs, les dons, les hostellagesQue ont les amans qui pour tous avantages Y entrent folz et s'en retournent sages Et bien apris. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 189)
[3] L'un chantoit, les autres doubloient De leurs gorgetes qui verbloient Le chant que Nature a apris; (CHART., L. Dames, 1416, 198)
[4] L'autre dist, qui dormir vouloit Et a dormir avoit apris, Ne de devis ne lui chaloit Car de sommeil estoit espris: " Frere, se vous avez empris De veiller a voustre loysir, Les autres n'y sont pas compris. (CHART., D. Rev., a.1424, 307)
[5] Leurs cuers s'en vont et puis reviennent, Car ilz les ont bien reclamez Et si bien apris qu'ilz retiennent A changer des qu'ilz sont amez. (CHART., B. Dame, 1424, 353)
[6] Et, combien que j'ay peu apris, S'ilz en ont rien dit ou escript Par quoy je puisse estre repris, Je leur respondray par escript. (CHART., E. Dames, 1425, 370)
[7] O vile creature, indigne de congnoistre la loy de Dieu, compaignon des pourceaux, et disciple dez boucz, ou as tu apris que don d'espirituelle prophecie soit donné aux hommes charnelz, ou quelle revelation est assise sur la pensee ou regne fornication et ordure? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 124)
[8] Car combien que l'enfant qui de nouvel est aprisa aler ait de ce faire le povoir de soy, si a il tousjours l'oeil et le cueur vers sa mere, pour doubte qu'il a de trebuchier par son impotence, et pour l'attente que naturelle affection lui donne du soustenement de la mere qui l'a apris a aler. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 151)
[9] Car combien que l'enfant qui de nouvel est aprisa aler ait de ce faire le povoir de soy, si a il tousjours l'oeil et le cueur vers sa mere, pour doubte qu'il a de trebuchier par son impotence, et pour l'attente que naturelle affection lui donne du soustenement de la mere qui l'a apris a aler. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 151)
[10] Et a vous declairier j'entens Ou sa demeure est cituee Estrangement instituee, Ses manieres et divers fais, Si com je les vy, imparfais, Tant comme je fus a sa court, La ou mainte aventure acourt, Ce que j'apris, qu'il m'i advint, Et comment de moy lui souvint, Lorsqu'il lui plot tost acourir A mon grant besoing secourir,Et le secours qu'elle me fist, Qui de gaires ne me souffist. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 11)

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