C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de apres dans 7FMR 
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[1] Cil qui vie a tous donna, Et povoir sur rayson a, Dont grace a tous foisonna, Ou moult precieux don a, Par prophetes sermonna, Jadiz, et loy ordonna, Qu'il leur pourporcionna, Et circonstancionna, Couvrit et environna,Et la conditionna De cerimonies maintes, En tres troubles couleurs paintes, Parolles prains et ensaintes Deffences tres fort restraintes, Ordonnances bien contraintes, A grant promesses astraintes, Et par figures empraintes, Avecquez visions saintes, Et esperances non faintes D'avoir joye apres les plaintes, Et attaindre a grans attaintes, Quant le temps seroit venu, A son convenant tenu, Sy que tout est advenu Du gros jucquez au menu, Et descouvert tout a nu Ce que Dieux avoit tenu Clos, couvert et contenu Ou vieil Testament chenu. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 110)
[2]Cy commence la table des rubriches du Livre de Paix, lequel s'adrece à tres noble et excellent prince, Monseigneur le duc de Guienne, ainsné filz du roy de France, encommencié le premier jour de septembre, apres l'apointement de la paix jurée en la cité d'Auxerre entre noz seigneurs de France en l'an de grace mil IIII. cent et douze. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 57)
[3] ITEM, recommencié l'euvre en la II.e partie le III.e jour du mois de septembre, apres les convenances de paix rejurées en la ville de Pontoise et que noz seigneurs de France s'assemblerent à grant joye et paix à Paris en l'an de grace mil IIII. cent et treize. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 57)
[4] XV Cy commence le Livre de Paix lequel s'adrece à tres noble et excellent prince, monseigneur le duc de Guienne, ainsné filz du Roy, encommencié le premier jour de septembre apres l'apointement de la paix jurée entre noz seigneurs de France en l'an mil IIIJ. cent et XIJ. France en l'an de grace mil IIII. cent et douze. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 58)
[5] Et qu'il soit vray, certes, quoy que assez te pense donner exemple des vaillans anciens tant du preux Julius Cesar, de Pompée, de Scipio, et d'autres tres nobles lesquelz tout avant euvre misdrent paine de savoir et d'estre saiges qu'ils determinassent les grans empreses desquelles apres, plus gouvernées par grant savoir que par force d'armes leur prist tres bien, me souffira te donner exemple de ton bon ayol le tres sage roy Charles, quint de ce nom, auquel Dieu par sa grace te doint ressembler. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 68)
[6] Puis au disner apresté à droite heure s'aseoit le bon prince, apres lequel, jusques la collacion donnoit espace à toute gent de besongner à lui et tres benignement tous y escoutoit. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 71)
[7] Et semblablement apres le dormir, qui n'estoit mie long, et mesmement par ses jardins de Saint Pol, qu'il faisoit tenir tant bien ordonnéz, en alant et venant pour prendre l'air expedioit ce qu'il avoit à faire. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 71)
[8] les barons devant lui au plus pres le parement devant, et ses freres, s'il y estoient, ou autres de son sang apres. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 72)
[9] Et puis ses destriers de parement, à riches selles, les plus beaux que on peust veoir, à tres grant foison apres. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 72)
[10] Et ainsi que tu oys, la prudence de cellui roy se demonstroit tant par le fait du gouvernement de son estat et personne comme en tous les autres generaulx affaires, si que encores sera dit cy apres. avoit à faire. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 72)

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