C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de appentiz dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] Lequel royd'Angleterre, qui estoit en son parc, loing d'une bonne lieue dudit Piquigny, acompaigné de XXm Anglois bien artillez dedens sondit parc, s'en vint incontinent audit lieu de Piquigny audit apentis, qui lui estoit appareillé, et amena seulement avecques lui, pour l'atendre au joignant d'icellui appentis, vint des lances de sadicte compaignie, qui ilec furent et demourerent dedens l'eaue à costé dudit pont par tout le temps que le roy fut et demoura en icellui appentiz. (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 342)
[2] -- En icelluy appentiz. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 343)
[3] et oultre ce, que les diz Robert et sa femme ne les dessus nonmez preneurs ou aucun d'eulx ne puissent ediffier maison ne autres ediffices en icelui jardin qui, tant par veues conme par autres choses prejudicient, deplaisent ne qui grevent les diz religieus ou leurs successeurs en aucune maniere, excepté que les diz Robert et sa femme ou les dessus nonmez preneurs pourront faire, se il leur plaist, en icelui jardin, encontre le mur du jardin des diz religieus, pardevers ladite maison des diz Robert et sa femme, une estable et appentiz pour herbergier leurs chevaulx, en venant l'agout pardevers les diz preneurs, toutes fois que il leur plaira, et faire y un puis, se il leur plaist, sanz riens haut ediffier au dessus de la closture. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 366)
[4] Et, se il advenoit que, durant les vies des dessus nonmez preneurs en aucun temps, iceulz Robert et sa femme ou autres feissent faire aucune estable ou aucun puis ou apentiz ou dit lieu, yceuls estable et puis et appentiz seront et demourront aus diz religieus, tantost et incontinent aprés la decés des dessus nonmez preneurs et de chascun d'iceuls ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 366)
[5] aprés les quiex decés, les dizreligieus ou leurs successeurs pourront de leur plain droit et auttorité entrer ou dit jardin, baillié conme dit est, et ronpre et entrer de fait en la dite cloison et jardin, et iceulx appliquier a eulx et a leur eglise avecques les ediffices et appentiz, se faiz y sont, senz contradicion aucune que l'an leur y peust ne soit tenus de mettre, toutevoies reservé et retenu aus diz religieus toute leur justice haulte, moienne et basse et toute autre audit lieu dont dessus est faite mencion, et tout ce qui a cause de justice et seigneurie leur y puet et pourra venir et appartenir, ou a leurs successeurs ou temps a venir. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 366)
[6] Item, un petit jardin qui est aus diz religieux, assis entre le dit appentis et un autre ediffice qui est aus dis religieux, le quel ediffice est par maniere de appentiz ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 584)
[7] lequel procureur dudit Thibaut d'Auvergne, qui s'estoit opposez aux criees et subhastacions faictes de par le roy nostre sire a la requeste des diz religieux, par vertu du previllege donné et octroié aux bourgois de la ville de Paris, d'une maison et appentiz avecques la court, puis, estables et jardin, ensemble une alee qui descend de la court de la dicte maison, ainsi comme tout se comporte, assise a Paris, ou Mont Saincte Geneviefve, en laquele maison pent l'enseigne du Pot d'Estain, qui fu Jehan Chapelain, tenant, d'une part, a une maison qui est aux escoliers de Laon et, d'autre part, a Guillaume Linete, aboutissant parderrieres a maistre Guillaume de Bracon, et la dicte alee tenant au jardin de la maison dudit Linete, et, d'autre part, a Margot la Gotarde, en la censive des diz religieux, dist et declaira en nostre presence que ce ne fu oncques son entencion ne n'est encores de conduirene soustenir la dicte opposicion sur la dicte maison du Pot d'Estain, court, alee, puis, jardin et yssues dessus declairés, mais a esté et est son intencion de soustenir sa dicte opposicion sur une petit maison comprinse es dictes criees, que les diz religieux appellent appentiz, avecques les appartenances et appendences d'icelle, et aussi sur aucunes chambres ou enclaves qui seroient appliquez a l'usage de la dicte maison du Pot d'Estain, lesqueles enclaves seroient des appartenances de la dicte petite maison ou apentiz, et non autrement ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 645)
[8] lequel procureur dudit Thibaut d'Auvergne, qui s'estoit opposez aux criees et subhastacions faictes de par le roy nostre sire a la requeste des diz religieux, par vertu du previllege donné et octroié aux bourgois de la ville de Paris, d'une maison et appentiz avecques la court, puis, estables et jardin, ensemble une alee qui descend de la court de la dicte maison, ainsi comme tout se comporte, assise a Paris, ou Mont Saincte Geneviefve, en laquele maison pent l'enseigne du Pot d'Estain, qui fu Jehan Chapelain, tenant, d'une part, a une maison qui est aux escoliers de Laon et, d'autre part, a Guillaume Linete, aboutissant parderrieres a maistre Guillaume de Bracon, et la dicte alee tenant au jardin de la maison dudit Linete, et, d'autre part, a Margot la Gotarde, en la censive des diz religieux, dist et declaira en nostre presence que ce ne fu oncques son entencion ne n'est encores de conduirene soustenir la dicte opposicion sur la dicte maison du Pot d'Estain, court, alee, puis, jardin et yssues dessus declairés, mais a esté et est son intencion de soustenir sa dicte opposicion sur une petit maison comprinse es dictes criees, que les diz religieux appellent appentiz, avecques les appartenances et appendences d'icelle, et aussi sur aucunes chambres ou enclaves qui seroient appliquez a l'usage de la dicte maison du Pot d'Estain, lesqueles enclaves seroient des appartenances de la dicte petite maison ou apentiz, et non autrement ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 645)
[9] et oultre, disons que en tant comme touche le seurplus de la dicte maison ou appentiz les dictes parties en demeurent et demourront en question, par nostre sentence et par droit. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 646)

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