C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ais dans 7FMR 
21 attestations 
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[1] a clous et a mortel Rejoing les ais et fort martel; (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 52)
[2]On doit commencier l'assault par trait et par drecier eschieles, par miner et faire vois dessoubz terre, par engins et mangonneaux et canons, qui fort trayent, par ediffices et engins, que on meine jusques aux murs, et doivent commencier la mine ains qu'ilz mettent leurs tentes, et doivent fouir soubz terre plus parfons que les fossez et faire voye jusques aux murs, et doit on la voie estaier de pieces de marrein et ais affin que la mine ne chiée ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 230)
[3] Laquel chose advient po souvent, Car, tout aussi comme le ventDemaine la nave en la mer Par fortune et la fait tumer, Fendre ou ferir a une roche, Ou qu'elle a une isle s'acroche, Ou se trebuche par les flos, Pour ce que les ais sont desclos Tant que l'eaue a dedanz entrée Et qu'elle ne puet estre ancrée, Que li mas est frains et fendus Et li voiles qui fut tendus Est desroups, ne ly marinier N'ont salut fors que de noier, Et couvient que la nef affonde, Aussi li homme de ce monde Seculer, qui en telz flos sont Et en tel mer, plus de maulx ont, Et sont en peril plus doubtable Que ceuls qui ont moustier et table, C'est a dire la vie active Et aussi la contemplative: L'active pran par le mangier, La contemplant par le moustier. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 246)
[4] Avec le duc estoit monsieur de Bresse, Son loyal oncle et autre grant noblesse, Ainsi que fut Ludovic, Galyas, Le baron d'Ais en qui tout bien s'adresse, La Chambre aussi, d'onneur ayderesse, Qui tous ensemble firent ung ralïas Pour desconfire ung autre Golïas Ou pour attendre Enoc et Helïas, A ung besoing veu leur façon et geste, Les ungs mignons, les autres gorgïas, En mettant sur maintz petiz harïas, Dont fut leur gloire en maincts lieux magnifeste. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 162)
[5] Et cependant que le roy estoit au dit Pouge Real, le fol du roy de Napples, nommé messire Jehan, monta sur une des tours du chasteau de Capouanne au logis du roy, et en s'ejouant print ung aiz, en recullant arriere, l'ais fut plus pesant que le dit fol, parquoy elle l'emporta du hault en bas, et ce tua, dont le roy fut moult couroucé. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 258)
[6] Mais que seurté vous soit donnee De tenir foy et revenir, Jaulier [des prisons de Pensee, Soussy, laissez mon cueur yssir. (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 512)
[7]]Mais s'entour moy pluseurs je voy, Et qu'on rit, parle, chante ou crye, Je chasse hors Merencolye (Que tant hayr et craindre doy) Quant [me treuve seul, a par moy ! (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 519)
[8] Mais si Fortune contre toy se ralye Et te combat, Sans qu'ais rien faict qui deust mouvoir debat, Dont corps ou biens ayent, en leurs cas, rabat, Prent ce qui vient com si c'estoit esbat Et soit cachee Ta passion et dedans attachee, Si que dehors n'aye la face tachee Juc Attrempance l'ayt traicte et arrachee Pour bonne fin, A quoy viendras sans doute a la parfin, Si mouvemens premiers restrains, affin Que par Prudence, la berille tresfin, Ays propos ferme Sur Raison prins, qui en bien le conferme. (MESCHIN., Lun. princes M.-G., c.1461-1465, 81)
[9] par quoy les ais des vesseaulx, qui sont de bois secq et toutes oinctes de poix, se alument de legier. (BUEIL, II, 1461-1466, 57)
[10] En celle mesme année monseigneur Frederich,archiduc d'Austrice, estant Roy des Rommains, venant d'Ais en Allemaigne, et traversant partie de l'empire, retournant en ses pays d'Austrice et aillieurs, par moyens trouvez d'ung costé et d'aultre, passa et vint en la cité de Besançon, ou conté de Bourgoingne, et laquelle est cité et siege d'empire. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 270)

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