| [1] | ordenez Que nous aiens planté de nez, Des milleurs et des plus seüres; (MACH., P. Alex., p.1369, 52) | | [2] | Et dites à tous et à toutes, Qu'en Chypre jamais n'entrerons, Ne la royne ne verrons, Jusques à tant qu'aiens esté, Soit en yver, soit en esté, En païs de nos annemis, Car voué l'avons et promis. (MACH., P. Alex., p.1369, 53) | | [3] | Or me donnez vostre conseil Si bon, que Dieux y ait honnour Et nous n'i aiens deshonnour. (MACH., P. Alex., p.1369, 80) | | [4] | Aprés ce, vint et fu present pardevant nous mestre Thibaut d'Esposnes, advocat ou Chastellet de Paris, qui, de sa bone volenté et certainne sciance, sanz aucune fraude, erreur ou decevance, mais de son propre mouvement, promist et ot en convenant ladite maison, ses droiz, appartenances et appendances garentir, delivrer et deffandre aus diz Nicolas et sa fame, leurs hoirs et aienz cause d'eux, envers ledit Jehan la Chievre, ses hoirs et touz ceux qui cause ont et auront de luy ou temps a venir, par si et en telle maniere et par accort fait exprés entre le dit mestre Thibaut, d'une part, et les diz mariez acheuteurs, d'autre part, que, ou cas ou le dit mestre Thibaut baillera et delivera lettre seellee du seel de ladite prevosté de Paris aus diz Nicolas et sa fame, leurs hoirs et aiens cause d'eux, par les quelles il apperra et sera contenu que le dit Jehan la Chievre renoncera et aura renoncié a tel droit conme il a et peut avoir eu ou temps passé, pour luy, ses hoirs et les aienz cause de luy, en la maison dessus vendue et en ses droiz, appartenances et appendances, yceluy Thibaut d'Espones, ses hoirs et les aienz cause de luy sont et demourront quites et delivres de la dite garantie touchant le dit Jehan la Chievre tant seulement envers les diz Nicolas et sa fame, leurs hoirs et les aienz cause d'eux, siconme yceluy mestre Thibaut disoit ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 154) | | [5] | Jehan du Pontoit dit de l'Aue, demorant a Paris, confesse avoir baillé a rente, desmaintenant a tous jours, et promis a garentir de tous empeschemens a Jehanne la Selliere, femme vefve, et a Jehannin le Sellier, bourrelier, filx de la dite Jehanne, pour euls, leurs hoirs et aians cause, une maison a appentis, sicomme elle se comporte, que il avoit de son conquest fait de Jehan de Saint Roumain, seant a Paris, oultre la porte Saint Denis, du renc Saint Magloire, tenant, d'une part, a une maison qui est audit Jehan de Saint Roumain et, d'autre part, a un appellé Huet, faiseur de broches a vin, aboutissant par derrierea la court dudit Huet et a la court de la maison dudit Jehan de Saint Roumain, en la censive des religieux de Saint Magloire, cest bail fait pour le pris et somme de dix livr. par. tant de fons de terre comme de croix de cens ou rente sur le tout par an que lesdis preneurs en seront tenus paier sur ledit lieu adcensé, c'est assavoir aus dis religieux XII d. de fons de terre le jour saint Remy, huit livr. quatre solz par. de rente par an deubz a yceulx religieux, et audit Jehan de Saint Roumain quinze solz par an, tout ce paié egalment par les quatre termes, et audit Jehan du Pontoit, bailleur, par an vint solz par. Et est assavoir que ledit Jehan du Pontoit povoit par lui ou par ses aiens cause racheter dudit Jehan de Saint Roumain a ses bons poins, dedans deux ans a compter du XIIe jour de ce present moys de may en deux ans prochains, pour huit livre. tourn., paiant a une fois par ledit Jehan du Pontoit ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 692) |
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Attestation de 