Attestation dans les corpus textuels   Attestation de adcertenez dans 7FMR  5 attestations   Page 1/1  [1] Les Lacedoniens furent adcertenez parleurs espies que ceulx de Messines estoient de sy grant ire esmeux, que ilz devoient mener ala bactailleleurs femmes, leurs enffans, pour tous vaincre ou morirenssemble. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 56) [2] De ceste chose fus je adcertenez par ung de ceulx qui le guida, nommé Collede l'Amandolee,moult viel homme. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 121) [3] Et depuis ces choses ainsi faites et pour ce que les dittes rentes vendues par yceuls mariez aus dis religieux en faisant la vente dessus ditte n'estoient pas si bonnes ne si souffisaument et deuement assises comme les dis Pierre et sa femme l'avoient promis et enconvenancié en faisant la ditte vente, yceuls mariez, de leurs bons grez et bonnes voulentés, tous advisez et adcertenez en ceste partie, des le XXIe jour du mois d'avril qui fu l'an mil trois cens soixante et cinq derrenierement passé aprés Pasques, avoient promis et gaigié, chascun pour le tout, sans aucune division faire, les dittes rentes par eulsvendues aus dis religieux, comme dit est, faire valoir, fournir et parfaire bons, valables et solvables par an, a tous jours, par euls, leurs hoirs et les aians cause d'euls, en et sur tous leurs autres biens et de leurs hoirs, meubles et immeubles, lors presens et a venir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 319) [4] les quiex Robert et sa femme, de leurs bons grés, bonnes vollentés, de leurs certaines sciences et propres mouvemens, senz force, fraude, contrainte ou decevance, et pour leur tres grant, cler et evident prouffit, et sur ce bien advisiez, consseilliez et adcertenez, recongnurent et confessierent pardevant les diz clers notaires jurez euls avoir prins et retenu, prennent et retiennent par la teneur de ces presentes lettres a droite rente ou penssion annuelle, chascun an doresenavant, a la vie des diz Robert et sa femme, et de Jehan Falle, frere de icelui Robert, et de Agnés, leur suer, femme de Richart de Pons, mercier, bourgois de Paris, et du seurvivant des diz Robert, Jehanne, Jehan et Agnés, en quelque point, estat, habit ou religion que il soient ou deviengnent, la vie de eulx quatre et du seurvivant pour le tout, de religieuses personnes et honnestes l'abbé et le couvent de l'eglise Saint Magloire de Paris, ce qui enssuit, c'est assavoir une quentité de jardin qui est au bout des jardins des diz religieus, joingnant et aboutissant a la maison des diz Robert et sa femme, - et conmence le bout d'icelui jardin du dit trettié a la maison qui jadiz fu Gautier le Marinier, tallemelier, et a icelui jardin qui est prins de nouvel en icelui bout dessus dit qui joingt audit Gautier le Marinier trois toises et quatre piez, trois doie ou environ meins, de lé, comprins dedenz l'espoisse du mur dont il sera fermé, et se yra fermer tout au lonc jusques a un mur de plastre qui va au travers du jardin des diz religieus, en retournant encontre l'eglise du Sepulcre, et a de lé en icelui endroit du Sepulcre cinq toises et trois piez et demy de lé ou environ, et aura icelle closture du long unze toises de long ou environ, - par ainssi que les diz preneurs, c'est assavoir les diz Robert et sa femme, seront tenus et promistrent et gagierent es mains des diz notaires jurez rendre et paier aus diz religieus, a leurs successeurs et aians cause ou au porteur de ces lettresou le transcript d'icelles fait souz le seel de la dite prevosté de Paris, la sonme de soissante soulz par. de rente ou penssion annuelle, pour cause et raison du dit jardin par eulx prins, chascun an doresenavant, les vies d'eulz et des dessus nonmez durans, egalment par les quatre termes en l'an generalment a Paris acoustumez, en et sur le dit jardin et sur la maison des diz Robert et sa femme qui y joingt, si conme icelle maison se comporte, et sur toutes ses appartenances et appendances quelconques, la quelle maison tient, d'une part, au dit jardin et, d'autre part, a la dite eglise du Sepulcre ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 365) [5] Et depuis ces choses ainsi faittes, et pour ce que les dittes rentes vendues par yceuls mariez aus diz, religieux en faisant la vente dessus ditte n'estoient pas si bonnes ne si souffisans et deuement assises comme les diz Pierre et sa femme l'avoient promis et enconvenancié en faisant la ditte vente, yceuls mariez, de leurs bons grez et bonnes voulentez, tous advisez et adcertenez en ceste partie, des le XXIe jour du mois d'avril qui fu l'an mil CCC soixante et cinq derrenierement passé, aprés Pasques, avoient promis et gaigié, chascun pour le tout, sans aucune division faire, les dittes rentes par euls vendues aus diz religieux, comme dit est, faire valoir, fournir et parfaire bonnes, valables et solvables par an, a tous jours, par euls, leurs hoirs et les ayans cause d'euls, en et sur tous leurs autres biens et de leurs hoirs, meubles et immeubles, lors presens et a venir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 601) Fermer la fenêtre