C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de achecteurs dans 7FMR 
8 attestations 
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[1] et fait ladicte Ameline procureur sondit mari pour faire la dessaisine et en faire saisir lesdiz achecteurs etc. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 246)
[2] Lesquelz mariez, de leurs bons grez, sans contrainte et pour leur cler et evident prouffit, recongnurent et confesserent en droit pardevant nous eulx avoir vendu, transporté, quictié, cessié et delaissié, desmaintenant a tousjours perpetuellement et heritablement, et a la charge cy dessoubz esclarcie promis chascun pour le tout garantir, delivrer et deffendre envers et contre tous, en jugement et hors, quant mestier sera et ilen seront requis, de toutes autres charges et de tous arrerages, obligacions, ypotheques, engaigemens, et de tous autres enpeschemens quelzconques, a leurs coustz et despens et de chascun d'eulx pour le tout, a Mahy le Fevre, mareschal, et a Marie, sa femme, demourans a Paris, en la grant rue Saint Denis, au dehors de la porte, pour eulx, leurs hoirs et pour ceulx qui d'eulx auront cause ou temps a venir, une maison, si comme elle se comporte a present, que iceulx vendeurs avoient de leur conquest, seant a Paris, en la grant rue Saint Denis, au dehors de la porte, tenant, d'une part, a Pierre Bugadel et, d'autre part, a Guillaume Guibert, brentier, aboutissant en partie audit Pierre Bugadel et en partie aux diz vendeurs pardevers ung jardin et maison qui font yssue pardevers la rue de Dernetal, qui furent de ladicte maison vendue et que lesdiz vendeurs ont retenus a eulx, et ou a ung mur qui fait closture entre lesdiz vendeurs et achetteurs, en la censive de religieuses personnes et honnestes l'abbé et couvent de l'eglise Saint Magloire de Paris, chargee icelle maison vendue en neuf livres par. tant pour fons de terre comme de crois de cens ou rente par an, deubz et paiez aux personnes, lieux et censiers qui s'ensuivent, c'est assavoir aux diz religieux de Saint Magloire quatre livres dix solz par., aux hoirs feu Guillaume le Fevre, jadiz vendeur de poissons de mer es Halles et bourgois de Paris, quatre livres par., et aux diz vendeurs dix solz par., tout paié par an egalment aux quatre termes en l'an generalment a Paris acoustumez, sans autre charge, servitude ou redevance aucune, ceste vente faicte pour et parmy le pris et la somme de cinquante frans d'or du coing du roy nostre sire, que lesdiz vendeurs en confesserent avoir euz et receuz desdiz achecteurs ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 458)
[3] lesquelz mariez, de leurs bons grez, bonnes volentez et certaines sciences, sans fraude, sur ce bien pourveuz et conseillez, si comme ilz disoient, recongnurent et confesserent avoir vendu, cedé, quictié, transporté et delessié a tous jours perpetuellement et promis a garantir, chascun pour le tout, envers touz et contre touz, de tous troubles, debtes, obligacions, arrerages et autres empeschemens quelconques, en jugement et dehors, toutes et quante fois que mestier sera, a Nicolas Ploier dit de Fribourc, orfevre et bourgois de Paris, et a Perrenelle, sa femme, pour eulx, pour leurs hoirs et pour leurs aians cause, une maison et une petite court, si comme tout se comporte, hault et bas, en lonc, en lé, devant et derrieres, avecques toutes ses veues, agouz, aisances, adjacenses et appartenances quelconques, qu'il se disoient avoir de leur conquest, assise a Paris, en la rue du Bourc l'Abbé, tenant d'une part et d'autre aux diz achecteurs, aboutissant par derrieres a Pierre Brugadel, en la censivedes religieux de Saint Magloire de Paris, chargiee en soixante deux solz parisis que de fons de terre que de crois de cens ou rente par an pour toutes chargez, ceste vente faicte pour le pris de dix huit livres, franc d'or pour vint solz t., que lesdiz vendeurs en confesserent avoir euz et receuz des diz achecteurs, et s'en tindrent a bien paiez et en quicterent lesdiz achecteurs et tous autres a qui quictance en puet et doit appartenir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 477)
[4] lesquelz mariez, de leurs bons grez, bonnes volentez et certaines sciences, sans fraude, sur ce bien pourveuz et conseillez, si comme ilz disoient, recongnurent et confesserent avoir vendu, cedé, quictié, transporté et delessié a tous jours perpetuellement et promis a garantir, chascun pour le tout, envers touz et contre touz, de tous troubles, debtes, obligacions, arrerages et autres empeschemens quelconques, en jugement et dehors, toutes et quante fois que mestier sera, a Nicolas Ploier dit de Fribourc, orfevre et bourgois de Paris, et a Perrenelle, sa femme, pour eulx, pour leurs hoirs et pour leurs aians cause, une maison et une petite court, si comme tout se comporte, hault et bas, en lonc, en lé, devant et derrieres, avecques toutes ses veues, agouz, aisances, adjacenses et appartenances quelconques, qu'il se disoient avoir de leur conquest, assise a Paris, en la rue du Bourc l'Abbé, tenant d'une part et d'autre aux diz achecteurs, aboutissant par derrieres a Pierre Brugadel, en la censivedes religieux de Saint Magloire de Paris, chargiee en soixante deux solz parisis que de fons de terre que de crois de cens ou rente par an pour toutes chargez, ceste vente faicte pour le pris de dix huit livres, franc d'or pour vint solz t., que lesdiz vendeurs en confesserent avoir euz et receuz des diz achecteurs, et s'en tindrent a bien paiez et en quicterent lesdiz achecteurs et tous autres a qui quictance en puet et doit appartenir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 477)
[5] lesquelz mariez, de leurs bons grez, bonnes volentez et certaines sciences, sans fraude, sur ce bien pourveuz et conseillez, si comme ilz disoient, recongnurent et confesserent avoir vendu, cedé, quictié, transporté et delessié a tous jours perpetuellement et promis a garantir, chascun pour le tout, envers touz et contre touz, de tous troubles, debtes, obligacions, arrerages et autres empeschemens quelconques, en jugement et dehors, toutes et quante fois que mestier sera, a Nicolas Ploier dit de Fribourc, orfevre et bourgois de Paris, et a Perrenelle, sa femme, pour eulx, pour leurs hoirs et pour leurs aians cause, une maison et une petite court, si comme tout se comporte, hault et bas, en lonc, en lé, devant et derrieres, avecques toutes ses veues, agouz, aisances, adjacenses et appartenances quelconques, qu'il se disoient avoir de leur conquest, assise a Paris, en la rue du Bourc l'Abbé, tenant d'une part et d'autre aux diz achecteurs, aboutissant par derrieres a Pierre Brugadel, en la censivedes religieux de Saint Magloire de Paris, chargiee en soixante deux solz parisis que de fons de terre que de crois de cens ou rente par an pour toutes chargez, ceste vente faicte pour le pris de dix huit livres, franc d'or pour vint solz t., que lesdiz vendeurs en confesserent avoir euz et receuz des diz achecteurs, et s'en tindrent a bien paiez et en quicterent lesdiz achecteurs et tous autres a qui quictance en puet et doit appartenir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 477)
[6] parmi le quel pris ainsi receu, comme dit est, iceulx vendeurs transporterent aux diz achecteurs et a leurs hoirs ou aians cause d'iceulx tous les droiz de proprieté, possession, saisine, seignerie, avecques toutes les actions reelles, personnelles, mixtes, directes, teues, expresses et autres quelconques qu'il avoient et povoient avoir, demander ou reclamer en ladicte maison, court et appartenances, et envers quelconques personnes que ce fust ou soit, a cause de ce et d'icelle maison, court et appartenances ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 478)
[7] et se dessaisirent et devestirent iceulx vendeurs es mains desdiz notaires comme en la nostre pour le roy nostre sire, voulant que iceulx achecteurs en soient vestuz et saisiz par la teneur de ces presentes ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 478)
[8] et d'abondant, pour eulx en dessaisir, se mestier est, et en faire vestir et saisir iceulx achecteurs partout ou il appartendra, il firent leur procureur et certain messagé especial Jehan Alorge, au quel seul et pour le tout ilz donnerent et octroierent plain povoir, auctorité et mandement especial de ce faire et de faire autant sur ce comme eulx mesmes feroient et faire pourroient, se presens y estoient, ja soit ce que la chose requeist mandement especial. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 478)

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