| [1] | Autres plais me sourdirent a cause d'eritaiges sur lesquelz on demandoit ancienne rente et grans arreraiges, de laquelle chose ou decret de nostre achat n'avoit aucune mencion. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 101) | | [2] | - COMMENT MARIAGE N'EST QUE TOURMENT,, QUELQUE FEMME NE DE QUELQUE ESTAT QUE L'EN PRANGNE,, ET QUE EN TELE CHARGE CHEUST MIEULX ADVIS QU'EN ACHAT DE BESTE MUE (DESCH., M.M., c.1385-1403, 53) | | [3] | COMMENT MARIAGE N'EST QUE TOURMENT, QUELQUE FEMME NE DE QUELQUE ESTAT QUE L'EN PRANGNE, ET QUE EN TELE CHARGE CHEUST MIEULX ADVIS QU'EN ACHAT DE BESTE MUE. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 53) | | [4] | et des quelles coses on li demandoit le consel, en l'anee proprement, qant li vendage et li achat des hiretages desus dis furent fait. (FROISS., Chron. D., p.1400, 256) | | [5] | Si vous conseil que le vueilliez Par achat prendre. en l'anee proprement, qant li vendage et li achat des hiretages desus dis furent fait. (Mir. Pierre Changeur, c.1378, 270) | | [6] | Les voluntaires sont teles comme vendicion, achat, prest, plegerie, usage, depost, louage. (ORESME, E.A., c.1370, 283) | | [7] | Et de la dite terre, seigneurie et appartenances de Sarclas le ditJehan Le Roux, procuteur ou dit nom procuratoire et par vertu de son dit povoir se dessaisi, devesti et desmit, et la foy et hommage en quoy la dicte dame en estoit quitta et remist et par la teneur de ces presentes quitte et remet en la main du dit Monseigneur le comte d'Etampes, pour ou nom et au prouffit du dit acheteur, et d'abondant promist s'en dessaisir, devestir et desmettre en la main du dit Monseigneur le conte ou de ses officiers pour lui, et en faire mettre et recevoir le dit acheteur ou son procureur pour lui en possession et saisine, foy, hommage ou souffrance par tout en la maniere qu'il appartiendra, comme de son loyal achat, aux fraiz, missions et despens toutesvoyes d'icelluy acheteur. (6205, 386) | | [8] | Item, a relaté ledit Aleaume qu'il a defendu à J. Hure et Miles Du Brueil, notaires ou Chastellet de Paris, et en la presence desquelx ledit achat avoit esté fait, qu'il ne rende les lettres dudit contract, ne ne baille audit Savoisy ne à ses gens sanz le congié et consentement de la Court. (BAYE, I, 1400-1410, 126) | | [9] | Au jour d'ui, André d'Espernon, changeur à Paris, a confessé et confesse avoir en garde et en depos de par la Court la somme de mil libvres tournois, laquelle il avoit receue par les mains de maistres Thomas d'Aunoy et J. de la Croix, conseillers du Roy nostre Sire et maistres en sa Chambre des Comptes, à Paris, dès le XXVe jour de septembre derrien passé, pour convertir en l'achat de la terre de Frontignan, en la senechaucie de Beaucaire pour le Roy nostre dit seigneur, laquelle somme de mil libvres il a promiz et promet à bailler et delivrer au mandement et ordonnance de la Court, si comme appert par la cedule signée de sa main, laquelle cedule est devers ladicte Court. (BAYE, I, 1400-1410, 180) | | [10] | Cedit jour, les executeurs du testament et derrienne volenté de feu messire J. Tabary, jadis evesque de Therouenne, ont volu, wellent et consentent que de la somme de VIIc escus, qui estoient en depos par devers la Court pour estre emploiez et convertiz en rentes et revenues au proufit de l'evesque qui à present est et de ses successeurs, pour cause d'un admortissement fait par ledit evesque, Vc XXVII escus et XIIIJ solzparisis en soient baillez audit monsr l'evesque ou son procureur, pour estre converti en l'achat d'un fief, ainsy qu'il se comporte, tant en cens, rentes, boiz, dismes, terrages, revenues, drois, possessions et autres choses achetez de Sohier de L'Isle, escuier, et de sa femme. (BAYE, I, 1400-1410, 347) |
|
|
Attestation de 