C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de accoustumez dans 7FMR 
24 attestations 
 Page /3 

[1] pourveu toutesfois que icelles seigneuries, terres, revenues et possessions n'aient este données à autres par feu nostre dit seigneur et pere ou nous, et qu'ils paieront les charges et feront les drois et devoirs pour ce deuz et accoustumez. (6205, 478)
[2] Monseigneur Henry de Marle, chancellier de France,chevalier, tint le Parlement, presens maistres Robert Mauger, premier, et J. de Vailly, president, les arcevesques de Reins, de Tours, les evesques de Lisieux, de Paris, de Clermont, de Luçon, d'Albit et de Coustances et l'abbé de Saint Deniz, maistres J. de Norry, G. Chanteprime, Arnault de Marle, maistres des Requestes de l'Ostel du Roy, et les maistres des IIJ Chambres de Parlement jusques au nombre de LIIIJ ou environ, et furent leues les ordonnances et les sermens accoustumez fais par les advocas et procureurs. (BAYE, II, 1411-1417, 271)
[3] Item, et ne souffrera le Roy aucun d'eulz estre receptez ou favorisez en aucun lieu de son obeissance et puissance, et fera crier et publier par tous les lieux desdiz royaume et daulphiné accoustumez de fairecriz et publicacions, que aucun ne les recepte ou favorise, sur peine de confiscacion de corps et de biens. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 210)
[4] Si se preparerent les champions et tandis se firent les crys accoustumez, et fut chascun retiré à son ordonnance. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 77)
[5] Descendit le duc de son hourd en la lice, et Jaques tira son espée, baisa la poignée et la bailla au duc qui le fit chevalier, et ferit si grand cop le duc, en baillant l'accolée, que le cop fut ouy de tous ceulx qui furent presens, ou de la pluspart, et puis remonta en sa place, et le nouveau chevalier se retraïct en son pavillon et furent faictz les crys accoustumez. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 98)
[6] et, ce faict, se retraïct chascun de la lice, et se commencerent les crys accoustumez; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 151)
[7] et se preparerent les josnes seigneurs qui avecques luy avoyent esté norriz pour jouster avecques luy, et aussi plusieurs aultres princes, chevalliers et escuyers, rudes jousteurs et accoustumez du mestier. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 214)
[8] affermerent et distrent en bonne verité les diz Macy Cousin et Katherine, sa fame, pardevant les diz notaires jurez, que il, du propre heritaige dudit Macy a li venu et escheu par la mort et succession de feu Jehan Stambut, son oncle, jadiz changeur, bourgois de Paris, avoient, prenoient et recevoient par chascun an, aus quatre termes generalment en la ville de Paris accoustumez en l'an, vint et sis soulz huit deniers parisis de cres de cens ou de rente, tantost et sanz aucun moyen aprés un denier par. de fons de terre, en et sur une maison et sur les appartenances et appendances d'icelle maison, sicomme tout se comporte et estent, haut et bas, devant et derrieres, laquele maison est ad present Thomas le Breton, harengier, assise a Paris en la rue au Cyne, tenant, d'une part, a Alips la Camuse et, d'autre part, a la fame feu Jehan le Blont, aboutant par derrieres a la maison que l'en dit la maison d'Ardaise, en la censive du roy nostre seigneur, qui jadiz fu de Therouenne, sicomme les diz Macy Cousin et Katherine, sa fame, disoient. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 74)
[9] Les quelz vint sis soulz et huit deniers parisis de cres de cens ou de rente dessus diz a avoir, prendre et recevoir par chascun an, aus diz quatre termes en l'an a Paris accoustumez, en et sur ladite maison et sur ses dites appartenances et appendances, tantost aprés un denier de fons de terre, comme dit est, yceuls Macy et sa fame, de leur bon gré, de leur bonne volenté et de certaine science, recognurent et confesserent pardevant les diz clers notaires jurez comme pardevant nous en droit avoir vendu et par nom de pure et perpetuele vente quitté, cessié, ottroié, mis, transporté et delessié, et ancorres vendirent, quitterent, cessierent, ottroierent, mistrent, transporterent et du tout en tout delessierent desorendroit, perpetuelment et heritablement a touz jours mais, a Robert Foulechat, drappier, bourgois de Paris, et a Alés, sa fame, pour euls, pour leurs hoirs et pour ceus qui d'euls ont et auront cause, avecques tout le droit, toute l'action, fons, saisine, proprieté, possession et seignourie qu'il avoient, povoient et devoient avoir en la dite rente et en toute ladite maison et en ses dites appartenances et appendances, sanz riens retenir y ne reclamer jamés a nul jour, comment que ce soit, pour euls ne pour leurs hoirs, pour cause de ce, c'est assavoir ceste vente faite pour le pris et la somme de neuf livres parisis, forte monnoie courant ad present, que les diz vendeurs en avoient eu et receu des diz Robert Foulechat et Alés, sa fame, acheteurs, en bonne peccune bien comptee et bien nombree, avant la confection de ces lettres, sicomme il confesserent, et s'en tindrent a bien paiez pardevant les diz notaires jurez, et d'icelles neuf livres par. il quitterent les diz acheteurs. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 74)
[10] Savoir faisons que pardevant nous vint en jugement Jehan Quotart le jeune, demourant a Paris, sicomme il disoit, et recognut en droit lui avoir vendu, quittié et delessié a touz jours, et promis a garantir envers touz a ses couls a Henry Gaudeer, a Jehanne, sa fame, et a leurs hoirs, soissante et dis souls par. de crois de cens ou de rente que ycellui vendeur se disoit avoir et prendre, cuillir et recevoir, chascun an, de son heritage, en et sus une meson qui est aus diz achateurs, assise a Paris, a la Pissote Saint Martin des Champs et a l'oposite des murs d'icellui lieu, tenant a Colin des Bruieres, d'une part, et, d'autre part, aus hoirs Robin le Poullaillier, en la censive Saint Magloire de Paris, laquelle rente icellui vendeur avoit et prenoit, chascun an, en et sus ladite meson et ses appartenances, aus quatre termes a Paris en l'an accoustumez, sicomme il disoit, c'est assavoir tout pour le pris de vint huit livr. par. que ledit vendeur en confessa avoir eues et receues desdis achateurs et s'en tint pour bien paiez pardevant nous, quittant dudit pris les diz achateurs et leurs hoirs ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 98)

24 attestations 
 Page /3 
Fermer la fenêtre