C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de accompaigniez dans 7FMR 
7 attestations 
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[1] Entrerent à Paris et vindrent de Meleun la Royne et le Dauphin accompaigniez, environ IIJ heures après disner, des ducs de Berri, de Breteigne, de Bourbon et pluseurs autres contes et seigneurs et grant multitude de gens d'armes, et alerent parmy la ville loger au Louvre. (BAYE, I, 1400-1410, 237)
[2] Ce jour, après ce que l'en avoit plaidé une cause augraiphe criminel, s'est levée la Court pour adviser sur ce que le Chancellier avoit mandé de par le Roy à nosseigneurs de son sanc par maistre Pierre de Nantron, notaire et secretaire du Roy, que les seigneurs et autres officiers de ceans et les advocas et procureurs fussent demain en la court de S. Magloire, montez bien et competemment et habillez, et aussi accompaigniez de varlès armez pour accompaigner ledit Chancellier à aler par la ville de Paris, afin de tenir les bonnes gens et habitans de Paris en union et seurté, et leur donner bon courage envers le Roy pour obvier, se besoin estoit, au duc de Bourgoigne, qui, comme l'en disoit, approchoit Paris à grant nombre de gens d'armes contre les defenses du Roy. (BAYE, II, 1411-1417, 163)
[3] Il estoit pompeux d'abillemens et [curieux] d'estre accompaigniez, et tenoit grant estat et grant noblesse en sa maison. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 122)
[4] Et dit que, puis un mois ençà, il s'est accompaigniez dudit Joesne en la ville de Chartres, et d'illec sont venus ensamble à Paris veoir les autres juifs, afin d'avoir leur vivre le mieulx qu'ilz pourroyent. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 45)
[5] Par lequel mons. le prevost, et de son commandement, furent commis et envoyez maistre Jehan Truquan, lieutenant dudit mons. le prevost, et maistre Hutin de Ruit, examinateur, en la presence desquelx, et aussi de Aleaume Cachemarée, clerc de la prevosté, icellui prisonnier, oultre et par-dessus ce que dessus est dit et escript, et en augmentant à sa charge les confessions cy-dessus escriptes, cogneut et confessa que, environ le Noël derrenierement passé ot deux ans, autrement du temps n'est record, lui qui parle, accompaigniez de deux varlès tixerrans de draps, nommez l'un Guillemin et l'autre Jehannin, jeusnes hommes et nez du pays de Picardie, de leurs estas n'est autrement record, ne ne scet où ilz sont demourans, ne puis icellui ou pou près ne vit yceulx, lors tous demourans en la ville de Chaumont en Veucxin, saichant que une femme demourant en icelle ville, nommée La Bequedaire, si comme il lui est avis, avoit un coffre à retrait en icelle ville et chastel de Chaumont, et ouquel l'en disoit qu'il avoit moult de biens, environ heure de minuyt, par le moyen et aide d'une eschiele, monterent oudit chastel, et en ycellui entrerent par les guerites dudit fort; (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 117)
[6] et il nous aient fait supplier que la dite rente, afin qu'il la peussent perpetuelment tenir, nous leur vousissions amortir, nous, qui voulons le divin service estre acreu en nostre temps, pour la tres grant devotion et affection que touz jours avons eu et avons aus diz religieux et a leur dite eglise, la quele est de la fondation de noz predecesseurs roys de France, afin que en icelle, ou temps a venir, le divin service puisse miex et plus honorablement estre fait et celebré, et pour ce que nous, nostre tres chiere compaigne la royne et noz enffanz soions participanz et accompaigniez es bienfaiz et oroisons qui se feront doresenavant en ladite eglise, aus diz religieux avons octroié et octroions par ces lettres, de grace especial, de certaine science et de nostre auctorité et plaine puissance royal, qu'il et leurs successeurs les dites vint et quatre livr. six solz huit deniers par. de rente par an ainssi acquises, sanz fié et sanz justice, puissent tenir perpetuelment comme amorties, sanz ce que iceulz religieux ne leurs diz successeurs soient contraint par nous, par noz successeurs ne par autres ou temps a venir, icelle rente vendre ne mettre hors de leurs mains, comment que ce soit, ne pour ce tenuz a prester ou baillier a nous ou a noz diz successeurs aucune finance, ores ne ou temps a venir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 120)
[7] Savoir faisons a touz presens et a venir que, comme nostre amé et feal chevalier et conseillier Robert de Lorriz ait fondé ou ait propos et entencion de fonder une chapellenieperpetuel en l'eglise Saint Magloire de Paris, et de ycelle douer de trente livres paris. de rente pour le remede et salut des ames de ly et de feu Marguerite, jadis sa fame, de feu Jehan de Lorriz, son pere, et de feu Marie, sa mere, et de Perrenelle, a present sa fame, de leurs enfans, parens, amis et bienfaiteurs, sur certainnes couvenances faites ou a faire entre l'abbé et couvent de la dite eglise de Saint Magloire et nostre dit conseillier, nous, loans le bon propos et la bonne devocion de nostre dit conseillier, desirrans le service devin estre augmenté a nostre temps, et pour ce que nous et nostre tres chier fuilz ainsné Jehan, duc de Normandie, soions participans et accompaigniez es prieres, messes et oroisons qui seront faites en la dite chapellenie, de grace especial, de certainne science, et de nostre plainne puissance et auttorité royal, avons ottroié et ottroions par ces lettres a nostre dit conseillier et a la dite Perrenelle, sa fame, que eulz ou l'un de eulz ou leurs executeurs ou enfans ou de l'un d'eulz puissent fonder, se fait ne l'ont, ladite chapellenie, et ycelle douer des dites trente livres paris. de rente, se il leur plaist ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 148)

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