[1] | Car quand je fus de mon repos lassée, En te cuidant donner une embrassée, Pour mon las coeur grandement consoler, En lieu de toi, las je vins accoler De mes deux bras la flairante ramée, Qu'autour de moi avais mise, et semée, En te disant : « Mon gracieux Ami, Ai-je point trop à votre gré dormi ? (R014, 164) |
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