C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de accion dans 7FMR 
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[1] Et moy a elle : - Certes, Dame, je tiens que, comme Dieu soit principe de toutes choses - et aussi comme dit Aristote, l'entendement est le souverain des biens, car a lui tous les autres obeissent -, le premier principe des choses je confesse le plus parfait en accion d'oeuvre, comme cy devant est assez prouvé. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 75)
[2] Car de pur sanc en l'arche presaintie Homme devint sanz diminucion De deité, par si noble accion Qu'en ce fait fu virginité gardée, Et nature n'y fu point appellée, Car du secret mesler ne se pouoit Par la vertu d'amours qui y ouvroit. (Mir. nat. N.S.J.C., c.1343, 244)
[3]Doulx Jhesus, qui touz jours user Seulz a nous en toute accion D'amour et de dileccion, Si com tu le paralitique Par vertu poissant, autentique, De ton seul vouloir garisis, Et de flun de sanc retrainsis, Ce dit saint Marc, aussi la veuve, Par ta grace, ainz que de ci meuve, Vueillez cest anfant ci garir Et de touz poins son mal tarir Dont il est si pris et attains. (Mir. st Val., c.1367, 144)
[4]car prendre les et garder les est plus passion que accion. (ORESME, E.A., c.1370, 231)
[5] Car se un a esté navré et l'autre le ait navré,ou se un a ocis et l'autre soit mort, tele accion et tele passion sont diviseespar inequalité. (ORESME, E.A., c.1370, 289)
[6] Mais celui fait injuste duquel il est verité que il lefait voulant et ouquel est le principe et la cause de l'accion ou operacion. (ORESME, E.A., c.1370, 314)
[7] Or est a savoir que en l'ame sont .III. choses qui ont seigneurieou dominacion ou regart de l'accion et ou regart de la verité pratique. (ORESME, E.A., c.1370, 332)
[8]Mais la sensitive n'est pas principe d'aucune accion. (ORESME, E.A., c.1370, 332)
[9] et toutesvoies, ilz necommuniquent en aucune accion. (ORESME, E.A., c.1370, 332)
[10] Et pour ce que vertu morale est habit electif et eleccion est appetit de chose devant conseilliee, pour ce convient il sel'accion est vertueuse que la raison soit vraie et que l'appetit soit droit parainsi que l'entendement die voir, et que l'appetit poursuive ce que la raison ou entendement dit estre bon. (ORESME, E.A., c.1370, 332)

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