| [1] | Faire l'omme est oeuvre de maystre et de absolut puissance, maiz justifier l'omme est oeuvre de juge et de ordonnance droicturiere. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 151) | | [2] | Et pour tant nullement le Pere est premier devant le Filz, ne selon lasubstance, ne aussi selon la relation, c'est a dire selon le regard qui estrelatif selon les personnes l'une a l'aultre, ne selon cequi est absolut en soy sans aucun regard relatif, qui se refere et raporte a aultre. (Somme abr., c.1477-1481, 128) | | [3] | Item, en l'eglise Nostre Dame du mont de Syon, c'est assavoir en la propre place ou est le grant autel de ladite eglise, Nostre Seigneur Jhesu Crist fist la Cene a ses appostres le Jeudi Absolut. (Voy. Jérus., c.1395, 23) | | [4] | Et au Vendredi Absolut sont venduz de .II. mille a .III. mille lars. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 170) | | [5] | Cestarbre est rare en ces païs, toutesfois j'ay souvenance en avoirveu à Paris au jardin de l'Evesché, et au jardin du monseigneurRené du Bellay Evesque du Mans, l'un des plus absolut personnageen toute science, que nostre aage aye cognu : auqueldevons ceste grace, que par sa diligence et soing du bien public,seul et premier des François a apporté en ces païs la cognoissance,non seulement des noms qui nous estoyent dutout incognus, mais aussi de la culture et figure des herbes etarbres estrangers, desquels nous admirons et exaltons lesfruits, mais ne cognoissions leurs parents. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 51 v°) | | [6] | Cestarbre est rare en ces païs, toutesfois j'ay souvenance en avoirveu à Paris au jardin de l'Evesché, et au jardin du monseigneurRené du Bellay Evesque du Mans, l'un des plus absolut personnageen toute science, que nostre aage aye cognu : auqueldevons ceste grace, que par sa diligence et soing du bien public,seul et premier des François a apporté en ces païs la cognoissance,non seulement des noms qui nous estoyent dutout incognus, mais aussi de la culture et figure des herbes etarbres estrangers, desquels nous admirons et exaltons lesfruits, mais ne cognoissions leurs parents. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 51 v°) |
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