C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de abscence dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] N'oncques nul d'eulx sa court ne defouÿ, Ains se soubmistrent En son decret et ainsi le promistrent Et devant lui en jugement se mistrent, Et les dames leur pouoir lui commistrentEn son abscence. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 193)
[2] " Plus luy dist ledict mareschal en sa presence qu'il n'avoit faict en son abscence. (COMM., I, 1489-1491, 84)
[3] Dictes tousjours des maulx, sans faille, De chacun, voire en son abscence, Et si celuy le scet, je raille, Direz vous; (Sots triumph., c.1475, 45)
[4] Car tousjours m'avés mostré bon seignal de vraye amour et a present en mon abscence quant je n'i seray vous prie icelle bonne vraye amour, que me pourtés, vueilliez moustrer tellement que a mon retour je vous en aye a mercier et de vous tel report puisse oïr que par jamais je et mes successeurs vous en soyons tenus d'ayssi en avant. (6208, 12)
[5] Et adonc ledit grant maistre, qui avoit de coustume de mener la bataille, pour ce qu'il estoit lieutenant du roy en l'abscence du connestable, fors et reservé quant ledit connestable y estoit, vint devers icelluy connestable et l'advertist du nombre de gens qu'estoient lesditz ennemys, ainsi que ledit prisonnier l'avoit raporté, et aussi de ce qu'il avoit veu à l'oeul, en l'advertissant qu'il les avoit veu mettre en deux bandes, et que, avant qu'ilz se fussent rassemblez, il estoit temps de donner dessus eulx, qui avoit vouloir de les deffaire. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 303)
[6] Donné a Paris, souz nostre nouviau seel, en l'abscence du nostre grant, le XXVIIIe jour de juing, l'an de grace mil trois cens et quarante. reservé quant ledit connestable y estoit, vint devers icelluy connestable et l'advertist du nombre de gens qu'estoient lesditz ennemys, ainsi que ledit prisonnier l'avoit raporté, et aussi de ce qu'il avoit veu à l'oeul, en l'advertissant qu'il les avoit veu mettre en deux bandes, et que, avant qu'ilz se fussent rassemblez, il estoit temps de donner dessus eulx, qui avoit vouloir de les deffaire. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 97)
[7] Or disoient les diz religieux ou leur procureur que, ja soit ce que le dit deffendeur sceust bien qu'il ne povoit ne devoit peschier en ladicte riviere sans le congié et consentement des diz religieux ou de leurs gens, neantmoins, en l'abscence des diz religieux et de leurs gens, et contre leur gré et voulenté, il s'estoit efforcé de peschier en la dicte riviere a plusieurs engins, et de y mettre et atachier nasses pour peschier et prendre poisson en plusieurs lieux, dedens les fins et mettes appartenans aux diz religieux, et par especial a l'endroit des diz moulins du Temple, ce qu'il ne povoit ne devoit faire en aucune maniere. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 473)

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