C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de abolir dans 7FMR 
12 attestations 
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[1] Lors assaillie Suis de Penser qui m'a baillie Sa doulce ymage et entaillie En ma pensee travaillie Et que tollir Ne l'en puet nul, në abolir, Oster, effacer, ne polir Sans corps et vouloir demollir, Car departieN'en sera, quant de ma partie, Tant que l'ame soit hors partie. (CHART., L. Dames, 1416, 245)
[2] Ce don ne se puet abolir. (CHART., B. Dame, 1424, 348)
[3] Tu veulx mon pouoir abolir Et qu'onneur et bonté s'efface, Quant tu quiers des dames tolir Pitié, mercy, doulceur et grace. (CHART., E. Dames, 1425, 364)
[4] Pource que suis pertroublee et doulente, Mectre me veullent a leur loy ydolante Pour abolir mon zodïacal trosne, Dont je me treuve de cueur et de dox lente, Ne plus pouoir en moy ne redolante, Puis qu'au sabat font de moy leur matrone, Car pis qu'encelle me tiennent en leur prosne,Et de Jhesus les joyaulx encoffrez : Je m'esbahis commant vous le souffrez. (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 109)
[5] Chrestïenté veullent despeuplier Et abolir sa noble kyrielle Par une guerre si tresmaterielle, Si meurtrissiere et si tresmyserable Qu'onques n'en fut de pire ne semblable. (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 119)
[6] Ce jour, les procureur et advocat du Roy vindrent en la Chambre de Parlement pour dire ce que avoient à dire en la cause pendant ceans entre les monnoiers du serement de France, d'une part, et ceulz du serement de l'Empire, d'autre part, disans lesdis procureur et advocat du Roy qu'ilz avoient veuz les privileges et contredis baillez devers la Court par lesdictes parties, et leur semble que il ne devroit avoir difference ne separacion entre lesdiz monnoiers, qui sonttous residens et demourans en ce royaume, et en sont natifs, et y ont leurs biens et heritages, et que on les devroit laissier ouvrer pareillement les ungs comme les autres, et que on devroit abolir le nom du serement de l'Empire et faire qu'il n'y eust que ung prevost pour tous lesdiz monnoiers. (FAUQ., II, 1421-1430, 340)
[7] Et, luy estant en icelle, l'archevesque de Bourges, filz de Jacques Cueur, et ses frères, cuiderent trouver moyen de faire abolir la sentence donnée contre ledit Jacques Cueur, par le roy Charles septiesme, tenant son lyt de justice et en son grant conseil. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 157)
[8] De remettre, quitter, abolir et pardonner à tous ceulx qu'il verra estre à faire, soit en general ou en particulier, tous cas, crimes, malefices et delictz qu'ilz ont ou pourroient avoir faiz ou commis de tout le temps passé, pour quelque cause ne en quelque maniere que ce soit, tant à l'encontre de nous, de nostre auctorité et majesté royale que autrement, en quelque maniere que ce soit. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 231)
[9] confians à plain de ses grans sens, vaillance, loyaulté, preudommie, diligence et grant experience, à celluy nostre cousin de Dampmartin avons donné et octroyé, donnons par ces presentes plaine puissance, auctorité, commission et mandement especial de et sur toutes questions, poursuites et demandes faictes et que pourroit faire nostredit procureur à l'encontre dudit de Nemours, transigier, pacifier, appointer, traicter, conclure et accorder pour et au nom de nous avec icelluy Jacques d'Armignac, duc de Nemours, de luy quitter, abolir, remettre et pardonner toutes les faultes, crimes, delictz et offences passés, le reprandre et remettre en nostre bonne grace, luy rendre et restituer toutes sesdittes terres, seigneuries et biens meubles et immeubles quelconques, et generallement de faire telz accordz, transactions, traictez, promesses et convenancez, et besongner en tout ce que dict est et les dependences pour et ou nom de nous avec icelluy Jaques d'Armignac, duc de Nemours, et en passer telles lettres, tous actes, contractz et promesses et prandre telles seuretés d'icelluy de Nemours qu'il verra estre licites, utilles et convenables, et soubz telles peines et censures qu'il verra bon estre, et tout ainsi et par forme et maniere que nous ferions et faire pourrons comme se presens y estions en nostre propre personne. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 245)
[10] et toy et tes aliés criés, saint George, et veullent tesdis aliés soubmectre lesdictes noble devise et cry a celuy de ton pais, et abolir de tous points mes honneur et droit, ce que le roy Charles et mes bons enffans de ma terre ne soufferront pour mourir. (JUV. URS., Aud. celi, 1435, 193)

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