C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de abitation dans 7FMR 
5 attestations 
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[1] Si me tenoye pour abandonné, et pensoye que l'abitation de cestui nostre royaulme te fust de tous pointz interdicte de Dieu, comme terre condamnee et mauldite, jusquez a ce que Foy, qui eslieve l'esprit en la contemplation du povoir misericordieux de lassus, t'a cy amenee. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 90)
[2] Et Dieu, qui l'a croié pour l'abitation dez hommez, ne veult pas qu'elle demeure vacquant. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 108)
[3] et afin que la dicte monteigne fust miex habiter, li roys romains i a fait son palais et ilec fit sa see et s'abitation. (BERS., I, 1, c.1354-1359, 51)
[4] Ce jour, avant les arrests, sur ce que l'en disoit que les prevost et eschevins et loy de la ville de Cambray avoient banni aucuns dont mention sera faicte cy après, et dont procès avoit esté et estoit ceans, est appoinctéque l'evesque et les prevost et eschevins et loy de la ville de Cambray, ou nom d'eulx et eulx faisans fors du Roy des Romains, leur souverain signeur, et moiennant certainnes lettres par eulx sur ce obtenues dudit Roy des Romains, rendront et recevront l'abitation et demourance de ladicte ville damoiselle Marie du Cavech, Nycaise de Vaulx, Jaquemart de Dompierre, Jehan de Billy, Hannequin L'Orfevre, Nycaise Daneau, Jaquemart Huvot et Philibert Linart, boucher, que lesdiz de Cambray avoient banniz et condempnez clers laiz, et leur rendront tous leurs biens, se aucuns en ont esté prinz, et se ilz sont en nature, ou sinon la juste valeur et estimation d'iceulx, et promettront bonne paix et bon accort avec lesdiz banniz et condempnez, et leurs parens et amiz, et si les remetront et recevront aux droiz, honneurs, franchises, libertez et prerogatives des citoiens et habitans de ladicte ville, tout ainsi que se onques n'eussent esté banniz ou condempnez; (BAYE, I, 1400-1410, 132)
[5] Sur certeinne cause meue et ouverte le Ve jour de fevrier derrien passé entre Giles d'Auffay, appellant du prevost et eschevins de l'Isle, d'une part, et les duc de Bourgoigne, prevost et eschevins dessusdiz, appellez, intimé, d'autre part, accordé a esté entre lesdictes parties, moiennant lettre de congié du Roy nostre Sire, selon ce que est contenu en la cedule qui est devers la Court, et pour ce que ledit appellant à sa cause d'appel proposer requeroit provision quependent l'appel joist de l'abitation d'icelle ville de l'Isle, attendu que, veu que de ce que lesdiz prevost et eschevins l'avoient banni à IIJ ans de ladicte ville, dont avoit appellé, par quoy pendent l'appel devoit joir d'icelle habitation, de quoy par ledit accort ne lui estoit point pourveu, car combien que par icellui accort l'appellation fust mise au neant, toutevoie n'estoit pas ce dont avoit esté appellé mis au neant, pourquoy maistre Henry de Toisy, advocat desdiz appellez, interrogué sur ce, a juré en sa conscience que lesdiz appellans font autant pour ledit appellant, comme se ce dont a esté appellé fust mis au neant. (BAYE, I, 1400-1410, 261)
[6] Et des celluy temps cessa l'abitation des Bretons en laditte isle et les Anglois commencerent à y regner. (S185, 296)

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