C.N.R.S.
 
Dictionnaire du Moyen Français (1330-1500)

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FEMME
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20 exemples
 1 ...jamais femme ne fut plus loyalement obeye ne servye qu'elle seroit (C.N.N., c.1456-1467, 49).
 2 ...et ou est la femme tant asseurée qui osast dedire ung homme ainsi eschauffé et enragé que cestuy ? (C.N.N., c.1456-1467, 52).
 3 ...onques durant le disner le bon Gerard ne demanda après homme ne femme de Brabant (C.N.N., c.1456-1467, 173).
 4 ...depuis ne fut en puissance d'homme ne de femme de la faire menger ne dormir (C.N.N., c.1456-1467, 425).
 5 ...ung grand clerc (...) convertit, par sa sainte et doulce predication, la femme d'un bouchier (C.N.N., c.1456-1467, 273).
 6 Or demourerent le mary et la femme. (C.N.N., c.1456-1467, 418).
 7 ...[il] trouva façon et maniere, au pourchaz de luy et de ses bons amis, d'avoir a femme une tresbelle jeune fille (C.N.N., c.1456-1467, 289).
 8 ...[il] promist aussi de rechef qu'il la prendroit a femme. (C.N.N., c.1456-1467, 415).
 9 ...celuy qui cuidoit avoir du monde la meilleur femme (C.N.N., c.1456-1467, 289).
 10 Madame, qui faisoit grand chere avecques ses femmes (...) abandonna le baing (C.N.N., c.1456-1467, 44).
 11 L'une des femmes s'advisa et dist... (C.N.N., c.1456-1467, 44).
 12 ...a tant vindrent femmes et serviteurs qui bien beneirent monseigneur et le deshouserent (C.N.N., c.1456-1467, 114).
 13 ...cest honneur et avancement, dont la plus femme de bien de ce royaume se tiendroit pour bien eureuse (C.N.N., c.1456-1467, 192).
 14 ...ilz estoient beaulx compaignons tous deux, et valoient bien d'estre retenuz serviteurs d'aussi femmes de bien qu'elles estoient. (C.N.N., c.1456-1467, 362).
 15 ...vous aussi pourriez penser que je fusse homme naturel comme ung aultre, ayant puissance d'avoir compaignie avecques femme (C.N.N., c.1456-1467, 94).
 16 Si n'y avoit homme ne femme a l'ostel qui tresbien ne s'en donnast garde (C.N.N., c.1456-1467, 164).
 17 ...vrayement elle estoit homme, et non pas femme. [D'un homme qui se faisait passer pour une femme] (C.N.N., c.1456-1467, 304).
 18 Ce bon seigenur [l. seigneur] avoit femme espousée desja ancienne et maladive (C.N.N., c.1456-1467, 115).
 19 Si furent toutes les femmes mariées de la ville mandées. (C.N.N., c.1456-1467, 222).
 20 ...une femme mariée, qui n'estoit pas des plus seures du monde, fut requise d'un tresgentil compaignon de faire la chose que savez. (C.N.N., c.1456-1467, 418).
Cent Nouvelles NouvellesRoger Dubuis
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